SLOW TOURISME ET IMMERSION

En optant pour des moyens de transport en commun, en choisissant de séjourner chez l’habitant et en prenant le temps de s’immerger dans la vie locale… Tout en respectant le rythme, les coutumes, les mœurs et les saisons du pays visité, il est possible de s’ouvrir à un voyage plus épuré et sain.

Cela permet aussi de goûter à un mode de vie plus simple centré sur la Terre et les Humains. Il y a un besoin essentiel, même urgent, de repenser notre relation à l’environnement et toutes ses composantes, de chair, d’eau, de terre ou chlorophylle.

Dans les séjours de Jean Rêve de Voyage, vous pourrez ressentir toutes ces mosaïques culturelles et naturelles que nous essayons au mieux de retranscrire au travers d’expériences et activités sur place.

« Voir le monde de ses yeux est mille fois mieux que n’importe quel rêve ! »

– Par Ray Bradbury

LE VOYAGE DE DEMAIN, C’EST…

Des voyages conscients

Les voyages proposés par Jean Rêve de Voyage tiennent compte des problématiques environnementales et sociétales actuelles afin de responsabiliser le voyageur et de lui faire prendre conscience de l’impact écologique et social de ses choix et envies d’ailleurs.

Des transports repensés

Des hébergements responsables

Jean s’engage pour des voyages éco-responsables

et qui ont du sens !

Ceci entre dans le cadre d’une politique RSE (Responsabilité Sociétale et Environnementale d’entreprise) établie et en constante progression chez Jean Rêve de Voyage. Cela concerne ainsi le contenu thématique et la logistique des voyages sélectionnés par notre agence. L’usage du numérique est lui aussi repensé (aussi polluant que le transport aérien), tout comme notre relation au travail, la formation de nos équipes et de nos fournisseurs au monde en transition, et la sensibilisation de nos voyageurs aux impacts du tourisme.

Les habitants des Andes sont de véritables modèles de sobriété heureuse.

Comme l’illustre Pierre Rabhi. Ils maîtrisent l’art de la résilience, parvenant à s’adapter aux défis de la vie en montagne avec une remarquable aisance. Ne seraient-ils pas en quelque sorte des modernes qui ignorent l’être ?